La motion, renvoyée en commission défend des services accessibles à toutes et tous, sans distinction d’âge, de formation, d’état physique, de langue, de maîtrise de la lecture ou de l’informatique. Le développement de l’e-administration par le renoncement aux services oraux, aux contacts avec des personnes physiques aurait pour conséquences un affaiblissement du lien social et l’éloignement de la commune et de la population, la seconde résumant la première à un écran d’ordinateur.
Le Courrier, 13.03.23