Mise en cause, Joëlle Bertossa rappelle qu’elle représentait les associations de professionnel·les du secteur au sein de Cineforom et que de nombreux garde-fous existent pour prévenir de tout conflit d’intérêt : «Le Conseil de fondation n’est pas celui qui octroie les soutiens. Cela relève d’une commission externe de 120 membres indépendants. Quand on m’accuse de recevoir des millions, il faut préciser que tous les budgets de mes films et tous les décomptes sont révisés par des organismes externes.»
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