Mercredi 25 janvier à 19h30 – Maison Internationale des Associations (Salle Gandhi)
Depuis plusieurs années, la jeunesse se mobilise et agit dans les rues, rejoignant et créant des organisations en dehors des partis politiques dit traditionnels et privilégiant la désobéissance civile ou l’action directe pour faire bouger les choses. Cette position s’accompagne souvent d’une mise à distance des structures partisanes. Du côté des partis, la perspective socialiste est d’appuyer sa stratégie institutionnelle sur les actions des mouvements sociaux, pour nourrir le travail des élu·es parlementaires et exécutifs des préoccupations de la population.
Y a-t-il vraiment une rupture entre l’engagement dans ces deux sphères ?
Comment créer des liens entre ces différents milieux pour que le travail des un·es nourrisse celui des autres ?